Elle a intenté un procès contre les propriétaires du célèbre restaurant de restauration rapide KFC pour 1,5 million de dollars !
La femme américaine a obtenu cette somme pour violation de ses droits maternels.
Voici comment cela s’est passé.
Tout a commencé en 2014, lorsque Autumn est venue postuler pour un emploi dans un restaurant KFC.
À l’époque, la jeune femme élevait un fils de 2 mois.
Lampkins était prête à commencer à travailler à une condition importante – elle exigeait qu’on lui permette d’exprimer son lait maternel plusieurs fois par jour.
Après tout, la jeune femme allaitait son bébé et voulait maintenir la lactation.
Lors de l’entretien, on dit à Autumn que c’était tout à fait possible.
Cependant, dès le premier jour de travail, l’Américaine réalisa que la direction n’avait même pas l’intention de tenir sa promesse.
« Nous avions convenu qu’on me donnerait une courte pause toutes les 2 heures pour exprimer le lait.
Et finalement, ils ne m’ont autorisé à le faire qu’une seule fois pendant toute la période de travail de 10 heures. Leurs promesses n’avaient aucune valeur », a déclaré Lampkins.
De plus, Autumn ne pouvait exprimer son lait que dans le bureau de la direction, qui était truffé de caméras de surveillance.
Cela causait un grand inconfort à la jeune femme et a finalement conduit à ce que la jeune mère arrête le processus de lactation.
Après avoir été licenciée de KFC, Lampkins a décidé d’intenter un procès contre la direction du restaurant.
La jeune femme cherchait à obtenir réparation pour le préjudice qu’elle et son enfant avaient subi.
Et, étonnamment, le tribunal a confirmé les accusations de Lampkins contre KFC.
L’ancienne direction d’Autumn a été reconnue coupable de discrimination contre ses droits en tant que femme travaillant et allaitant.
Les propriétaires du restaurant doivent verser à l’ex-employée une indemnité de 25 000 dollars pour le préjudice moral, ainsi que 1,5 million de dollars de dommages-intérêts « punitifs ».
